En haut du Val d'Hérens,
Evolène.
On dirait le nom d'une petite fille.
Le village est devenu touristique,
mais on y trouve encore des maisons d'autrefois.
Les lisières...
si appréciées des animaux sauvages
et de ceux qui les observent.
De ce côté, la forêt et, bientôt, les sommets.
Après le village, la route continue,étroite et sinueuse
jusqu'au barage de Ferpècle.
Ici, elle est coupée par une coulée de neige
(une avalanche ?) qui a plié
le panneau de signalisation (en bas à droite).
Quelle force ont donc les flocons de neige,
quand ils s'assemblent.
Il s'agit, je crois du Mont Miné (2 914 mètres)
à ne pas confondre avec la Grande Dent de Veisivi (3 418 mètres).
Les pieds dans l'eau des glaciers,
des fleurs de Tussilage,
une des plantes pectorales les plus utilisées en phytothérapie.
En se retournant, le regard embrasse une plaine alluviale d'altitude,
zone de retrait des glaciers de Ferpècle et du Mont Miné.
Tout autour, des sommets, des pics, des dents,
souvent noires,
parfois blanches.
La Dent blanche, couverte de nuage,
qui culmine à 4 350 mètres.
Respect.
Evolène, Plaine de Ferpècle, Val d'Hérens, Valais suisse, 13 mai 2018
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La Dent blanche.
La même.
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