Mésange-à-longue-queue

    Ce que j'ai vu, c'est qu'une calèche tirée par un cheval de trait va moins vite qu'un homme au pas.     Pour autant, les passagers ont-ils pu observer     les Mésanges-longue-queue dans la frondaison ?     Pas sûr.     Les Mésanges à-longue-queue vivent en bandes     et elles ne cessent de communiquer en elles     en émettant de petit appels.     C'est ainsi qu'on les repère, si on est attentif.   ... [Lire la suite]

    Parfois, la pie s'envole en piqué, quand elle est haut perché.     Le Rouge-gorge ne fait pas tant de manières.     Quand même, il sait se "poser" sur une branche verticale.     Vous n'avez qu'à essayer.     La Mésange charbonnière est persévérante. Cette graine ne veut pas s'ouvrir.     Tiens, quelques Mésanges-à-longue-queue,     - car en dehors de la période de reproduction, elles sont toujours en petites bandes.   ... [Lire la suite]

     Au fond du jardin, les Chênes-verts     ont attiré une petite troupe      de Mésanges-à-longue-queue.     C'est un des oiseaux les plus charmants qui soient.      Mais elles ne sont pas facile à saisir     car elles sont sans cesse en mouvement.     La couleur lie-de-vin de leur plumage est unique.     On reconnaît bien là des mésanges :     elles sont parfaitement à l'aise   ... [Lire la suite]

    Début juin, nous l'avons dit, il y a encore des taches de couleurs au bord des chemins.     Mettez-vous à genoux, vous serez surpris(e).     Celui-ci porte le nom d'un dieu. C'est le Vulcain (Vanessa atalanta)     Cela est sans doute dû au rougoiement de sa livrée.     Il aime les fleurs, mais plus encore les fruits.      Un petit concert de légers pépiements,     c'est une colonie de Mésanges à longue-queue qui... [Lire la suite]

    On ne peut arriver au Mas d'Azil par le Sud sans passer par la grotte.     Je ne suis pas sûr que vous ayez saisi : la route (et la rivière) passent dans une grotte qui constitue, de ce fait, le plus grand tunnel naturel d'Europe.       La rivière, affluent de la Garonne, porte le beau nom d'Arize.     Elle a le bonheur d'héberger le Cincle plongeur.         Prendre un cincle en vol est une gageure car, comme le Martin-pêcheur, il se... [Lire la suite]

     Vue partielle du Mont Bouquet. Côté Ouest, cette fois, depuis le petit village de Servas.     J'aime beaucoup ce type de relief, qui doit porter un nom que je ne connais pas.      Les pépiements à peine audibles d'une petite troupe... Des Mésanges à longue-queue.     Minuscules (poids : 8, 6 grammes). Les plumes de leur ventre sont roses, ou plutôt lie-de-vin.     La queue est plus longue que le corps.      Le bec,... [Lire la suite]

    Nous avons quitté la vallée de l'Auzonnet à St Jean-de-Valériscle. Nous retrouvons l'Auzonnet en aval, pas loin de sa jonction avec la Cèze.     Un minuscule village, par ici, porte le nom d'Arlinde.      Des maisons anciennes, avec des greniers. Excellent pour abriter une famille de Chouettes effraies, par exemple.     Les vieux murs avec leurs fissures, leurs trous, hébergent les moineaux, les lézards, diverses plantes grasses...     Le seuil... [Lire la suite]

  La Barlie de Robert est appelée aussi Orchis géant. C'est la première orchidée de la saison.     Nous sommes dans le Comtat Venaissin     à quelques kilomètres des Dentelles de Montmirail.     Mais là se trouve une zone humide, peu connue.     Une zone humide en Provence, loin du Rhône, cela ne court pas les rues.     Des saules, des bouleaux... et une Mésange à longue-queue.     Une des raisons pour lequelles j'aime les oiseaux ... [Lire la suite]

    Fin d'après-midi en Cévennes. Il fait un froid de canard scandinave.     Couleurs chaudes, vent glacial.     Les couleurs des feuilles de châtaignier varient sur une même branche.     L'été et l'automne ont été très secs. Bien des châtaignes ne sont pas parvenues à maturité.     Que vont manger les sangliers ? Les pignes de pin sont moins nourrissantes.     Pas grand chose ne pousse sous les pins. La Bruyère calune y parvient.   ... [Lire la suite]