Florac
En venant de Mende et en prenant plein sud,
on passe par le col de Montmirat (1 042 mètres)
pour redescendre vers la vallée du Tarn et vers Florac.
A gauche, les contreforts du Mont Lozère puis des Cévennes ;
au fond, le Causse noir (le Mont Aigoual n'est pas loin sur la gauche) ;
au centre, le Causse Méjean qui surplombe les Gorges du Tarn, sur la droite.
Florac est au pied des falaises, légèrement sur la gauche.
Cette petite ville est le siège du Parc national des Cévennes.
Elle est remarquablement située entre les Cévennes, le Causse Méjean
et les Gorges du Tarn.
La première communauté protestante
y est fondée en 1560
(4 ans avant la mort de Jean Calvin).
Sans téléphone, sans routes goudronnées...
Le bourg est construit le long du Tarnon qui se jettera dans le Tarn très peu après.
Il voit aussi passer les eaux de la Mimente et celles de la Source du Pêcher.
L'eau y est très claire et abrite de magnifiques truites.
A bien des égards, de nombreuses maisons semblent être restées
comme autrefois.
J'aime cette minuscule ruelle qui conduit à la rivière
et passe entre les jardins.
Sur cette photo, vous voyez le fronton
et le clocher de l'église catholique romaine.
J'y vois aussi une Tourterelle turque et un coq.
Elle est bien, là, la tourterelle.
Et le coq ?
Quelques pas ont suffi pour les mettre côte à côte,
le temps de quelques photos,
pour vous.
Florac (48), le 1er août 2015
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