Grenoble
Grenoble.
Il paraît que je suis né par là,
sur la banquette arrière d'une Traction avant.
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En sortant de la gare, il y avait des oiseaux.
C'est la coupole du Dauphiné libéré.
L'aigle, réalisé en Suisse, pèse 480 kilos
et a une envergure de 4 mètres.
L'extrémité sud du massif de la Chartreuse domine la ville.
La Bastille est un fort militaire du XIXème siècle
qui permit de surveiller la ville de Grenoble,
mais aussi les vallées de l'Isère, du Drac
et du Grésivaudan.
Depuis la ville, on peut y accéder par le téléphérique
dont les cables traversent l'Isère.
A l'horizon, le Massif de Belledonne.
L'hiver, par ici, il ne doit pas faire bien chaud.
Les cheminées sont nombreuses.
Au centre de la ville se cache un petit parc plutôt sympathique.
A proximité, j'ai vu un jeune homme
penché sur un faon (blessé ?).
Un peu plus loin,
un pigeon parlait à l'oreille d'un éléphant.
Peut-être le massif du Vercors, derrière.
Toutes ces cheminées !
Presque les tuyaux d'un orgue géant.
Pour être juste, Grenoble sent aussi la ville universitaire et scientifique,
tentée par une modernité sans complexe.
J'y étais pour la première fois.
Enfin presque.
Grenoble, le 15 octobre 2017
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